INSUP formation : 20 ans de projets collectifs et d’éveil au vivre ensemble !

2000 : « Le stylo brise le silence »

« Ils sont 13 filles et garçons entre 17 et 24 ans venant de Cenon, Floirac, Artigues, Lormont et suivent pendant 8 mois une formation à l’INSUP de Cenon. Mais plutôt que d’apprendre chacun dans son coin, ils ont choisi de faire un livre ensemble. Son titre ? « Le stylo brise le silence » » (extrait du journal municipal Le Flash – décembre 2000)

2002: "Accorps"

"7 chapitres qui évoquent 7 péchés capitaux, ou les 7 parties du corps qu'ils ont dénombrées. Des thèmes qui symbolisent les différentes parties de la vie." (extrait du journal municipal Le Flash – janvier 2003)

2002 : "Portraits urbains", fresque adossée à la salle Simone Signoret

"Avec l'INSUP et 11 de ses stagiaires, les murs ont non seulement des oreilles, mais aussi des bras, des jambes, des yeux, et surtout des visages (...) Grâce à ce stage, ces jeunes adultes ont découvert, par la tangente de l'art, que travail peut rimer avec plaisir. En couleur et en noir et blanc, leur fresque parle des gens et du monde qui les entoure, et rend les murs mitoyens... plus citoyens." (extrait du journal municipal Le Flash – juin 2002)

2005 : "Echos 35" complète la fresque à Signoret

"Le premier pan, baptisé "Portraits urbains", fut conçu par 15 jeunes et connut une première installation en 2002. 28 nouveaux élèves de l'INSUP entreprennent sa restauration en 2005. "Nous avons travaillé sur les douze panneaux par équipe de deux ou de quatre, expliquent Marie-Laure et Jessica. Nous avons été obligés de repasser les traits aux feutres et de refaire certaines couleurs d'après photo." Le second pan fut qui réalisé en 2003 /2004 par 35 jeunes, en parallèle d'un travail d'écriture ; d'où son titre générique Echos 35" (extrait du journal municipal Le Flash – juin 2005)

2006 : une troisième fresque dans les tribunes du stade Léo Lagrange

"Il s'agissait notamment d'amener sur le terrain sportif des images habituellement issues des musées. Le formateur Jorge Nadur y voit un moyen de combattre les préjugés sur l'inaccessibilité de l'art." (extrait du journal municipal Le Flash – septembre 2006)

2011 : Aquitaine Cap nouvelles chances

"Sur 1000 heures d’accompagnement, une large palette d’outils : découverte de métiers, de son environnement, travail sur la mobilité et l’alternance, mise à profit des centres d’intérêt, accompagnement psychologique, etc. « Certains cherchent leur voie, d’autres se reconstruisent, et ont besoin pour cela, d’être dans le concret », poursuit Muriel Pecassou. Les périodes en entreprises ont débuté au sein de l’association Musiques de Nuit au Rocher de Palmer. « Un lieu rassurant, une équipe de qualité dont l’activité, attractive, concerne différents corps de métier (administration, médiation, communication, technique, etc.) ». Musiques de Nuit est engagé à part entière dans le dispositif, puisque le projet collectif concerne le montage d’un spectacle à l’occasion des 20 ans du Festival des Hauts de Garonne." (extrait du journal municipal Tempo 14 – janvier 2012)

2018 : "Regards. Nous, l'avenir du monde"

"En s’exprimant en liberté à travers les arts graphiques et visuels, les jeunes produisent des oeuvres très originales : « La nouveauté cette année, c’est qu’en plus ils participent à un concours vidéo national je filme ma formation. Ils doivent réaliser un reportage de 3mn emblématique de leur formation. Tourner des images, des portraits, des témoignages autour de leur projet professionnel ou artistique. C’est l’occasion pour eux de prendre la parole sur cette formation, sans tabou, ni censure sur ce qu’ils vivent et pensent de la société." (extrait du reportage disponible sur notre blog)

2021 : "Nos chemins & autres histoires démasquées"

"De 2000 "Le stylo brise le silence" à 2021 "Nos chemins & autres histoires démasquées", ils ont tous vécu une expérience individuelle et collective qui leur a permis d'être regardés, écoutés et entendus, se réconciliant ainsi avec eux-mêmes pour mieux renouer avec les autres. La réussite de ce défi a été pour beaucoup la première occasion d'avoir accompli un acte socialement reconnu. Tous ont été surpris par leur capacité, se sont sentis valorisés, notamment les 46 jeunes des promotions 2019-2020 et 2020-2021 qui, dans une période inédite et délicate, sont allés au bout de leur engagement !" (extrait de l'édito de Muriel Pécassou - Directrice Générale de l'INSUP)